Vous avez certainement déjà entendu parler de Narcisse ? Ce personnage de la mythologie grecque adorait tellement admirer son reflet dans un lac qu’il finit par tomber dedans et s’y noya. C’est de ce personnage que vient l’adjectif narcissique. Un terme pour qualifier les personnes qui vouent un amour presque exagéré pour leur personne. Pourtant, à côté de celles qui s’aiment trop, il y a aussi celles qui ne s’aiment pas assez voire pas du tout. En effet, cette catégorie de personnes portent en elles une profonde blessure narcissique qui les empêche tout simplement de s’apprécier à leur juste valeur.
Sommaire
Blessure narcissique : qu’est ce que c’est ?
Introduit en psychiatrie par Sigmund Freud dans les années 1920, la blessure narcissique ou cicatrice narcissique désigne les dégradations de l’amour pour soi-même et de l’estime de soi.
Concrètement, une blessure narcissique se traduit donc, par toutes les choses qui menacent votre estime et ont un impact négatif sur votre amour propre. Parfois, elle est également appelée la blessure du vide ou la dissolution du « moi ».
En effet, le blessé narcissique est une personne dotée d’un grand complexe d’infériorité, il se sent constamment inutile et insuffisant par rapport aux autres. Se sentant toujours rejeté, non désiré et incapable d’être aimé par ceux qui l’entourent, le blessé narcissique se dénigre alors sans cesse. Et cela, même s’il n’a décidément rien à envier aux autres.
D’où vient-elle ?
Tout le monde garde en eux une blessure narcissique. Bien que curieusement, beaucoup ne sont pas conscients que cette dernière influe insidieusement sur leur vie et les empêche d’exprimer tout leur potentiel. Par ailleurs, les origines d’une blessure narcissique peuvent être multiples et varient d’un individu à l’autre.
Néanmoins, d’après les spécialistes, elle résulte le plus souvent des traumatismes psychologiques. Généralement, ces derniers sont liés à des évènements dramatiquement subis ou d’une mauvaise expérience durant l’enfance. Tels que l’abandon, le rejet, les carences affectives, un manque de présence ou d’autorité parentale. Mais aussi, la violence morale ou même physique. D’ailleurs, la blessure sera d’autant plus importante si elle a été infligée par l’entourage proche ou les personnes envers qui l’enfant éprouve un profond respect et beaucoup d’admiration.
Mais pas seulement ! Le plus souvent, ce sont les parents qui sans le vouloir adoptent un comportement ou une attitude qui affecte négativement l’image de soi de l’enfant et crée chez lui une profonde cicatrice. Il arrive également que les parents trop exigeants, trop critiques et peu encourageants contraignent l’enfant à développer des croyances négatives le concernant. Ainsi, adulte, il vivra constamment dans l’insécurité et aura toujours l’impression de ne pas vraiment être à la hauteur, de ne pas être apprécié, estimé et surtout aimé.
Enfin, la blessure narcissique peut également survenir chez les personnalités narcissiques lorsqu’elles prennent conscience que l’image idéalisée et complètement erronée qu’elles ont d’elles s’avère être une vision fausse de la réalité.
Comment reconnaître un blessé narcissique ?
La blessure narcissique se manifeste de différentes manières chez chaque individu. Toutefois, lorsqu’elle est trop profonde, elle peut être très dévastatrice pour la personne qui y est confrontée. Voici quelques symptômes qui peuvent réellement mettre en péril son intégrité personnelle :
- Mépris de soi ;
- Déficit d’amour de soi ;
- Mauvaise image de soi ;
- Tendance à l’auto culpabilisation ;
- Comparaison avec les autres ;
- Se sentir mal dans sa peau ;
Les conséquences de cette blessure ?
Qu’elle soit grande ou petite, une blessure narcissique affecte à différents degrés la vie de chacun. Néanmoins, si certains peuvent s’en accommoder, d’autres en revanche, font face à des difficultés durant toute leur vie à cause de leur cicatrice trop profonde. En effet, dans certains cas, la blessure narcissique peut être une véritable cause de détresse émotionnelle et conduire le sujet à une mauvaise régulation de ses comportements. Par exemple, le sujet pourra se replier sur lui-même.
A contrario, il aura tendance à vouloir attirer l’attention des autres. Le plus souvent, à travers l’agressivité. Aussi, il arrive que la blessure narcissique développe chez l’individu un trouble de la personnalité narcissique. En effet, en manque d’estime de soi, ce dernier cherchera constamment l’admiration et la reconnaissance de son entourage. Il se transforme alors en une proie facile pour les manipulateurs. Pour éviter ce genre de chose, il est donc important d’apprendre comment se comporter avec un pervers narcissique.
Par ailleurs, dans les cas les plus extrêmes, le blessé narcissique peut se transformer lui-même en pervers narcissique. De fait, une blessure narcissique profonde entraîne bien souvent une indifférence aux autres, un manque d’empathie et une incapacité à aimer. Pire encore, elle peut provoquer un autre sentiment très fort : la haine. Le blessé narcissique cherchera alors à extérioriser ce sentiment en s’attaquant et en blessant les autres. Surtout ceux qu’il croit avoir une meilleure vie que lui. D’ailleurs, voir les autres réussir, être bien dans leur peau et heureux, ce sont tout ce que déteste un manipulateur.
Cicatrice narcissique : 5 moyens infaillibles pour s’en libérer
Heureusement, il est tout à fait possible de guérir d’une blessure narcissique. Pour cela, voici les clés :
Prendre conscience
Comme pour amorcer n’importe quel changement dans la vie, il est important de prendre conscience et d’admettre qu’il y a quelque chose qui ne va pas. De ce fait, pour guérir d’une blessure narcissique, l’individu doit accepter qu’elle est présente et affecte d’une manière ou d’une autre sa vie. Ainsi, c’est seulement en entrant en contact avec cette blessure intérieure que vous pourrez puiser dans toutes vos ressources pour aller mieux.
Apprendre à pardonner
En effet, vous devez comprendre que guérir d’une blessure narcissique c’est aussi pardonner à ceux qui vous ont fait du mal. Évidemment, le pardon ne vient pas tout seul, vous devez décider aujourd’hui et maintenant de ne pas prendre le chemin de la haine et du ressentiment.
S’aimer soi-même
Guérir d’une blessure narcissique c’est aussi apprendre à se valoriser et à s’aimer soi-même, car personne ne le fera à votre place. En effet, lorsque vous vous aimez assez, vous apprenez à avoir de la tolérance et de la bienveillance envers vous-même.
Faire taire son jugement intérieur
Plutôt que d’écouter cette petite voix qui vous dit que vous ne valez rien, que vous n’êtes pas digne d’être aimé ou encore que vous ne pouvez rien faire de bien, transformez ces pensées négatives en pensées positives et constructives. En outre, s’autocomplimenter permet aussi de stimuler ces sentiments positifs envers soi.
Oser demander de l’aide
Enfin, si vous avez l’impression que rien ne semble apaiser votre blessure narcissique, n’hésitez pas à aller consulter un psychologue ou un psychothérapeute. Tel un guide, ce professionnel vous accompagnera à chaque étape de votre guérison, vous soutiendra dans tous les moments difficiles et vous aidera à déceler la source de votre blessure.
Bonus : comment se comporter avec un pervers narcissique ?
Comme nous l’avons évoqué plus haut, un blessé narcissique peut devenir une proie facile pour les pervers narcissiques. Du fait de sa faible estime de soi et de sa dépendance affective. Néanmoins, sortir de l’emprise d’un manipulateur et surtout ne pas se transformer en victime sont à la portée de tout le monde. Voici comment se comporter avec un pervers narcissique et tout ce que déteste un manipulateur :
- Montrer que vous vous aimez ;
- Prendre soin de vous ;
- Prendre de la distance ;
- Garder le contrôle de vos émotions ;
- Dire non ;
- S’entourer de personne de confiance.
En résumé, avoir confiance en vous et savoir vous affirmer font partie de tout ce que déteste un manipulateur. Peut-être connaissez-vous une personne qui souffre de blessure narcissique ou vous avez vous-même vécu avec une cicatrice intérieure ? Comment vous en êtes-vous sortis ?
Bonjour Mathieu et merci pour cet article. Je me reconnais beaucoup dans tout ça. Ma mère est pervers narcissique et j’en souffre beaucoup. J’essai aujourd’hui de « guérir » mais ce n’est pas simple. Ça fera un an en octobre que je ne lui ai pas adressé la parole (téléphone) et ça doit sûrement déjà faire un an que je ne l’ai pas revu. Le plus dur pour moi est de pardonner… Je la hais tellement… Je lui en veux tellement…
Merci en tout cas.
Je vais télécharger la pièce complémentaire.
Marina
Bonjour Marina,
Merci pour ton témoignage. Et ravi que l’article te plaise, c’est un réel plaisir !
Je t’invite quand même à lire cet article que j’ai écrit qui pourrait t’intéresser et t’aider : https://www.penser-et-agir.fr/bienfaits-du-pardon/
Bien à toi,
Mathieu.
Bonjour Mahieu,
Bon, je vous l’accorde, mon cas sera un peu long à exposer! Mais si vous avez un peu de temps à y consacrer je serai ravie d’avoir votre avis car je ne sais à qui me confier. Merci de votre sollicitude!
J’ai été élevée sans père et adolescente ma mère m’a acaparée, possédée, manipulée. Faisant le vide autour de moi, elle m’incitait inconsciement à jouer le role de son homme au sein de notre union pathologique, occupant le rôle de son sauveur qui alternait avec celui de victime à assister » son bébé » J’ai pu me sortir de cette emprise grace à un chien, abandonné à la rue que j’ai imposé à ma mère; Je crois même que cet animal était là pour moi tant nous avons partagé des moments de complicité imoubliables. Grace à lui j’ai pu avancer dans la vie, me libérer et savourer la liberté retrouvée. j’étais solitaire, indépendante, et fière de l’être! J’ai pu aussi m’épanouir grace à une jument que j’ai élevée et dressée. Ensembles nous partions dans les grands espaces de nature à la rencontre de ses beautés, poussée par les forces universelles qui me permettais d’éprouver des purs instants de sérénité et de grace. A cet époque j’étais animatrice sociale dans une maison de retraite. Je pouvais mettre en avant mes talents artistiques et créatifs avec reconnaissance de mes supérieurs et clients.. Tout était parfait! Pourquoi suis-je aller chercher au-delà? J’ai rencontré, entre autres messieurs inaccessibles, un homme avec qui je ne souhaitais pas entretenir des relations autres qu’amicales. Il était épileptique, immature, assisté qui se plaisait à entretenir des relations de victime assisté auprès de sa mère ou sa familles en échange de services divers rendus. Dans cette mafia bien rodée, je n’avais aucune place à prendre ni à occuper! Pourtant tout comme ma mère, le sieur à su m’amadouer et me piéger, m’imposant dans sa fratrie, lui jouant les arbitres entre la réticence des siens envers moi et ma nature à fuir l’aliénation et le conflit inutile. Bref, il était incapable d’assurer une relation conjugale équilibrée et satisfaisante! Pourtant, malgré plusieurs séparations nous avons eu deux enfants ensembles et vécu sous le même toit durant 8 ans! Si au départ notre vie était convenable, l’ambiance à vite changer de cap surtout au secon enfant. Il étais jaloux des enfants, rejetant son fils qui lui faisait peur et assistant sa fille afin qu’elle lui ressemble suffisament pour le comprendre dans ses problèmes et devenir sa confidante salvatrice. Avant que je trouve la force de le quitter pour de bon avec les enfants, j’ai vécu des moments terrible d’humiliation, de chantage, de rejet pour quantité négligeable interdite de sortir sans lui.
J’ai mis du temps à me refaire une dignité qui ma foi s’en trouve encore plus marginale qu’au paravant. Aide soignante, j’endure la douleur des gens, la routine, sans jamais pouvoir trouver vraiment ce qui réjouirait mon âme et réchaufferait mon coeur. Je recherche avant tout la paix et la sérénité avec mes enfants et moi même. Je souhaite plus que tout trouver ma voie, ma mission, mon dharma et m’adonner à cette passion afin de m’épanouir. Je croyais que mes enfants étaient le meilleur de cette relation bancale. Pourtant, aujourd’hui, le tribunal pour enfants ordonne une mesure éducative argumentant que monsieur n’est pas capable de s’occuper de ses enfants ainsi que moi qui ne serais pas à la hauteur car plus investie dans ma réalisation que le sacrifice dont je dois faire preuve pour le bonheur idéal de mes enfants! Mais je veut ma revenche! oui je tiens à réussir personnellement et rien n’empèche d’assurer également pour ses enfants!…Il mettent mon comportement sur des blessures narcissiques alors que si je suis une solitaire indépendante et sans prétentions ce n’est pas par manque d’estime. jJe suis et reste volontairement humble car il est dans mes valeurs plus important de retrouver ma quintessence dans cet espace de liberté et de silence que de flatter mes apparences ou mes compétances.
Qu’en penser, que dire…..? Je suis une fois de plus l’objet des sarcasmes et de la perfidie d’autrui qui semble s’acharne à me persécuter à défaut de m’avoir comme sauveur…….
Je suis une personne, retraitée, qui se sent, très seule, enfant de la Dass toujours travaillé.. , pour m en sortir (g eu, élevé 5 enfants) je me suis, battue, pour qu ils s en sortent, ils ont tous, une bonne, situation? , mais hélas, moi, g tout donné, au fond de moi-même, que maintenant, je me sens délaissé » cause de notre petite retraite, je peux pas gâter mes petits enfants, hélas.. G pas de maison » pourtant, pour arriver, au bonheur de mes enfants, g beaucoup travaillé.. Mes parents, buvaient, se battaient, chaque jour, je vivais, sans hygiène, les enfants de l école, me donnait des vêtements, j étais enlevé, j avais 10 ans, la Dass, m a sauvé, de cette enfer(j avais 9 frères et sœurs) j en ai jamais parlé aux enfants (de toute façon, ils m ecouteraient pas) trop dans leurs conforts ? Je pense, que je croyais faire leur bonheur, en les couvrant, de trop.. Je paye, maintenant de ma santé, je suis en ALD pour dépression.. Ils m ont revenir, du Sud pour être auprès d eux, mais je vois, pas plus mes petits enfants (pour eux g l hygiène, je suis maniaque) mais hélas, à l leurs yeux, on a pas assez de confort.. J arrête là, car la suite, est encore plus terrible… Je suis née, dans un berceau empoisonné j ai beau me battre, j ai pas le droit, au bonheur, hélas, il me faut toujours la volonté, et surmonter, les épreuves de la vie….
C’est bien beau de vouloir pardonner, mais encore faut-il aussi le pouvoir. Parfois, le constat de l’inéquité du traitement subi est tellement fondamentalement déséquilibré et injuste qu’il est impossible pour une personne saine de pardonner l’impardonnable et il vaut mieux tourner les talons et passer à autre chose. Tout n’est pas pardonnable.
Je me dis : est-ce que tout le monde mérite vraiment d’être pardonné?
Une personne qui a compris son geste, qui ressent du regret et fait des choix différent dans le présent peut-être…
Mais qu’en est-il d’une personne qui n’a absolument rien compris et qui se contente d’être aveugle comme toujours et de dire que d’avoir un enfant ne vient pas avec un manuel d’instructions et d’insister sur le fait qu’il faut passer à autre chose.
Personnellement, je ne crois pas qu’une personne qui n’a pas évoluée mérite le pardon.
C’est facile de gâcher l’enfance de quelqu’un et de dire après »bon ben là on est rendu 20 ans plus tard, c’est passé il faut passer à autre chose »
Alors que l’enfant lui sa vie d’adulte se retrouve brisée car il a eu une dynamique familiale trop dysfonctionnelle!
Bonjour,
Merci pour votre commentaire qui soulève une question profondément complexe et essentielle dans le processus de guérison et de développement personnel : celle du pardon, en particulier vis-à-vis de ceux qui semblent ne pas reconnaître leurs torts ou comprendre l’impact de leurs actions.
Il est vrai que le pardon est souvent perçu comme une étape cruciale vers la guérison. Cependant, il est important de distinguer le pardon de l’oubli de la complaisance face à des comportements nuisibles. Pardonner ne signifie pas nécessairement rétablir une relation ou ignorer la douleur causée. Il s’agit plutôt d’un acte libérateur pour soi-même, une façon de se défaire des chaînes de rancœur et de ressentiment qui empêchent d’avancer.
Vous évoquez à juste titre que certaines personnes semblent naviguer dans la vie sans jamais saisir pleinement la portée de leurs actes, répétant des schémas destructeurs sans montrer de signes de regret ou de compréhension. C’est douloureux, surtout quand ces comportements ont des répercussions profondes sur la vie d’autrui. Dans de tels cas, le processus de pardon devient encore plus personnel et intérieur. Il ne s’agit pas de valider ou d’excuser le comportement de l’autre, mais de se libérer de l’emprise de cette douleur.
Le pardon, dans ce contexte, est un chemin vers la paix intérieure. Il permet de reconnaître la souffrance, de l’accepter, et de choisir consciemment de ne pas laisser cette douleur définir le reste de notre vie. C’est un acte d’amour envers soi-même, un pas vers la guérison de la blessure narcissique dont vous avez parlé.
L’article sur la blessure narcissique souligne l’importance de l’amour-propre et de l’estime de soi dans le processus de guérison. S’aimer soi-même et se valoriser sont des étapes cruciales pour surmonter les conséquences d’un passé douloureux. C’est en s’affirmant et en prenant soin de soi qu’on peut véritablement commencer à guérir.
Votre scepticisme quant au pardon de ceux qui ne montrent pas de signe d’évolution est compréhensible. Pourtant, je vous encourage à voir le pardon non pas comme un cadeau à l’autre, mais comme un acte de libération pour vous-même. Cela ne signifie pas oublier ou accepter ce qui s’est passé, mais plutôt choisir de ne pas laisser ces expériences négatives contrôler votre vie et votre capacité à avancer vers un avenir meilleur.
Je me permets de vous référencer deux de nos séances de Visualisation Amplifiée qui répond exactement au problématique :
https://les-actionneurs.com/sp/visualisation-amplifiee-liberer-les-blessures-de-son-enfant-interieur-presentation/
https://les-actionneurs.com/sp/visualisation-amplifiee-faire-la-paix-avec-le-passe-presentation/
Pour information, nous avons développé une nouvelle forme d’hypnose appelée la Visualisation Amplifiée. Grâce à un montage audio pointu, nous amplifions considérablement les suggestions hypnotiques des hypnothérapeutes, ce qui permet de résoudre les problèmes avec une efficacité redoutable.
Comme le problème dont vous me parlez est déjà traité dans l’une de ces séances, je me permets de vous la référencer dans ce commentaire.
En espérant que cette séance vous intéresse et vous aide à avancer.
À très vite dans un prochain article,
Fina – Community Manager pour Penser-et-Agir.fr
Dommage que vous mêliez et mélangiez « blessure narcissique » » et « pervers narcissiques ». Les lecteurs ne vont pas s’y retrouver !
Bonjour,
Je vous remercie sincèrement pour votre commentaire qui souligne une préoccupation importante concernant la clarté des termes utilisés dans cet article. Votre point sur la distinction entre les « blessures narcissiques » et les « pervers narcissiques » est essentiel et mérite d’être éclairci.
Il est vrai que le terme « blessure narcissique » fait référence à un état psychologique où une personne souffre d’une estime de soi dégradée, souvent due à des expériences négatives ou à des traumatismes subis durant l’enfance. Cette blessure peut affecter profondément la capacité d’une personne à s’aimer et à se valoriser elle-même.
D’autre part, le « pervers narcissique » désigne un type de trouble de la personnalité narcissique, où l’individu manifeste des comportements manipulatifs, une absence d’empathie et une recherche excessive d’admiration et de reconnaissance.
Notre intention était de montrer comment une blessure narcissique non traitée peut parfois évoluer vers des comportements qui s’apparentent à ceux des pervers narcissiques, surtout dans des situations extrêmes. Toutefois, une clarification plus poussée aurait été bénéfique pour éviter toute confusion entre ces deux concepts distincts.
Nous tâcherons à être plus précis dans mes futures publications pour assurer que nos discussions restent à la fois informatives et faciles à comprendre. Votre feedback est vital pour nous aider à améliorer la qualité de l’information que nous partageons avec notre communauté.
Merci encore pour votre vigilance et pour contribuer à un dialogue constructif autour de sujets aussi importants.
Cordialement,
Fina – Community Manager pour Penser-et-Agir.fr